Vendre

Toutes les informations à connaître si vous souhaitez vendre un bien sur le territoire de Viroflay.

Déclaration d’intention d’aliéner

L’ensemble des zones urbaines de Viroflay est soumis au droit de préemption « simple » au bénéfice de la commune.

Arrêtés, décisions et délibérations

Institution d’un droit de préemption urbain (délibération n°119/15 du conseil municipal du 27 novembre 2015)

  • Décembre 2015
  • Français
  • pdf
  • 649 Ko
Transcription textuelle

Institution d'un droit de préemption urbain (délibération n°119/15 du conseil municipal du 27 novembre 2015)

Cependant les cessions et les aliénations mentionnées à l’article L. 211-4 du code de l’urbanisme situées dans la zone UA du Plan Local d’Urbanisme sont soumises au droit de préemption urbain « renforcé ».

Arrêtés, décisions et délibérations

Institution d’un droit de préemption urbain “renforcé” (délibération n°27/16 du conseil municipal du 18 février 2016)

  • Février 2016
  • Français
  • pdf
  • 721 Ko
Transcription textuelle

Institution d'un droit de préemption urbain "renforcé" (délibération n°27/16 du conseil municipal du 18 février 2016)

Les ventes de biens concernées par ces dispositions doivent être précédées d’une Déclaration d’intention d’aliéner auprès du service de l’urbanisme sous peine d’annulation de la vente.

Le délai d’instruction est de deux mois à compter de la réception de la déclaration en mairie.

Déclaration d'intention d'aliéner ou demande d'acquisition d'un bien soumis à un droit de préemption

Fiche pratique

Repos quotidien du salarié

Vérifié le 10/02/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Tout salarié doit bénéficier d'une période de repos quotidien entre 2 journées de travail. La durée légale de repos est d'au moins 11 heures consécutives. Cependant, des dérogations à cette durée peuvent être fixées par convention ou accord. Les salariés de moins de 18 ans bénéficient d'une durée de repos plus élevée.

Tout salarié bénéficie d'un repos quotidien minimal entre 2 journées de travail.

Le repos quotidien est d'au moins 11 heures consécutives entre 2 journées de travail.

 Attention :

aucune durée légale minimale n'est imposée aux cadres dirigeants.

  • Certaines activités permettent de ne pas appliquer la durée du repos quotidien de 11 heures.

    C'est le cas des activités suivantes :

    • Activités caractérisées par l'éloignement entre le domicile et le lieu de travail ou entre différents lieux de travail du salarié
    • Garde et de surveillance et de permanence caractérisées par la protection des biens et des personnes
    • Activités nécessitant d'assurer la continuité du service ou de la production
    • Manutention ou exploitation concourant à l'exécution de prestations de transport
    • Activités s'exerçant par périodes de travail fractionnées dans la journée

    La durée minimale de repos est alors fixée par convention ou accord d'entreprise ou d'établissement.

    Toutefois, la durée de travail ne peut pas être supérieure à 9 heures consécutives.

    La non-application de la durée légale du travail est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • En cas de surcroît d'activité, une convention ou un accord d'entreprise peut prévoir une réduction de la durée du repos quotidien.

    Toutefois, la durée du repos quotidien ne doit pas être inférieure à 9 heures consécutives.

    En l'absence de convention ou d'accord, l'employeur peut ne pas appliquer la durée légale de repos quotidien, après autorisation de l'inspecteur du travail.

    La dérogation à la durée légale est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • L'employeur peut ne pas appliquer la durée de repos quotidien lorsque les travaux urgents suivants doivent être effectués sans attendre :

    • Mesures de sauvetage
    • Prévention d'accidents imminents
    • Réparation d'accidents survenus au matériel, aux installations ou aux bâtiments

    L'employeur reste tenu d'en informer l'inspecteur du travail.

    La dérogation à la durée légale est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • La durée minimale du repos quotidien ne peut pas être inférieure à 12 heures consécutives.

     À noter

    il est interdit de faire travailler un jeune âgé de 16 à 18 ans entre 22 h et 6 h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d'activité ou dans des situations d'urgence.

  • La durée minimale du repos quotidien ne peut pas être inférieure à 14 heures consécutives.

     À noter

    il est interdit de faire travailler un jeune de moins de 16 ans entre 20 h et 6 h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d'activité ou dans des situations d'urgence.

Depuis janvier 2024, l’État reprend l’instruction des DIA (déclarations d’intention d’aliéner) pour Viroflay.

En cas de renoncement à la préemption, l’État laissera s’écouler le délai de 2 mois, sans aucune exception possible. Un délai de 2 mois, à compter de la date de réception de la DIA par la commune, sera donc à prendre en considération dans vos calendriers de cession des biens immobiliers concernés.

Les déclarations d’intention d’aliéner seront à envoyer à la commune, qui se chargera de les transmettre à l’État.

Nous vous invitons à déposer vos demandes sur le guichet numérique de la Ville.

Certificat d’urbanisme

Le certificat d’urbanisme est un document d’information, ce n’est pas une autorisation. Il en existe 2 types : le certificat d’information et le certificat opérationnel. Le premier donne les règles d’urbanisme sur un terrain donné, le second vous renseigne sur la faisabilité d’un projet. La demande de certificat est facultative, mais elle est recommandée dans le cadre de l’achat d’un bien immobilier (terrain à bâtir ou immeuble) ou d’une opération de construction.

Le délai d’instruction est d’un mois pour le certificat d’information et de deux mois pour le certificat opérationnel à compter de la réception de la déclaration en mairie.

Certificat d'urbanisme

Fiche pratique

Repos quotidien du salarié

Vérifié le 10/02/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Tout salarié doit bénéficier d'une période de repos quotidien entre 2 journées de travail. La durée légale de repos est d'au moins 11 heures consécutives. Cependant, des dérogations à cette durée peuvent être fixées par convention ou accord. Les salariés de moins de 18 ans bénéficient d'une durée de repos plus élevée.

Tout salarié bénéficie d'un repos quotidien minimal entre 2 journées de travail.

Le repos quotidien est d'au moins 11 heures consécutives entre 2 journées de travail.

 Attention :

aucune durée légale minimale n'est imposée aux cadres dirigeants.

  • Certaines activités permettent de ne pas appliquer la durée du repos quotidien de 11 heures.

    C'est le cas des activités suivantes :

    • Activités caractérisées par l'éloignement entre le domicile et le lieu de travail ou entre différents lieux de travail du salarié
    • Garde et de surveillance et de permanence caractérisées par la protection des biens et des personnes
    • Activités nécessitant d'assurer la continuité du service ou de la production
    • Manutention ou exploitation concourant à l'exécution de prestations de transport
    • Activités s'exerçant par périodes de travail fractionnées dans la journée

    La durée minimale de repos est alors fixée par convention ou accord d'entreprise ou d'établissement.

    Toutefois, la durée de travail ne peut pas être supérieure à 9 heures consécutives.

    La non-application de la durée légale du travail est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • En cas de surcroît d'activité, une convention ou un accord d'entreprise peut prévoir une réduction de la durée du repos quotidien.

    Toutefois, la durée du repos quotidien ne doit pas être inférieure à 9 heures consécutives.

    En l'absence de convention ou d'accord, l'employeur peut ne pas appliquer la durée légale de repos quotidien, après autorisation de l'inspecteur du travail.

    La dérogation à la durée légale est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • L'employeur peut ne pas appliquer la durée de repos quotidien lorsque les travaux urgents suivants doivent être effectués sans attendre :

    • Mesures de sauvetage
    • Prévention d'accidents imminents
    • Réparation d'accidents survenus au matériel, aux installations ou aux bâtiments

    L'employeur reste tenu d'en informer l'inspecteur du travail.

    La dérogation à la durée légale est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • La durée minimale du repos quotidien ne peut pas être inférieure à 12 heures consécutives.

     À noter

    il est interdit de faire travailler un jeune âgé de 16 à 18 ans entre 22 h et 6 h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d'activité ou dans des situations d'urgence.

  • La durée minimale du repos quotidien ne peut pas être inférieure à 14 heures consécutives.

     À noter

    il est interdit de faire travailler un jeune de moins de 16 ans entre 20 h et 6 h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d'activité ou dans des situations d'urgence.

Diagnostics à réaliser sur les bâtiments

Diagnostic immobilier

Fiche pratique

Repos quotidien du salarié

Vérifié le 10/02/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Tout salarié doit bénéficier d'une période de repos quotidien entre 2 journées de travail. La durée légale de repos est d'au moins 11 heures consécutives. Cependant, des dérogations à cette durée peuvent être fixées par convention ou accord. Les salariés de moins de 18 ans bénéficient d'une durée de repos plus élevée.

Tout salarié bénéficie d'un repos quotidien minimal entre 2 journées de travail.

Le repos quotidien est d'au moins 11 heures consécutives entre 2 journées de travail.

 Attention :

aucune durée légale minimale n'est imposée aux cadres dirigeants.

  • Certaines activités permettent de ne pas appliquer la durée du repos quotidien de 11 heures.

    C'est le cas des activités suivantes :

    • Activités caractérisées par l'éloignement entre le domicile et le lieu de travail ou entre différents lieux de travail du salarié
    • Garde et de surveillance et de permanence caractérisées par la protection des biens et des personnes
    • Activités nécessitant d'assurer la continuité du service ou de la production
    • Manutention ou exploitation concourant à l'exécution de prestations de transport
    • Activités s'exerçant par périodes de travail fractionnées dans la journée

    La durée minimale de repos est alors fixée par convention ou accord d'entreprise ou d'établissement.

    Toutefois, la durée de travail ne peut pas être supérieure à 9 heures consécutives.

    La non-application de la durée légale du travail est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • En cas de surcroît d'activité, une convention ou un accord d'entreprise peut prévoir une réduction de la durée du repos quotidien.

    Toutefois, la durée du repos quotidien ne doit pas être inférieure à 9 heures consécutives.

    En l'absence de convention ou d'accord, l'employeur peut ne pas appliquer la durée légale de repos quotidien, après autorisation de l'inspecteur du travail.

    La dérogation à la durée légale est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • L'employeur peut ne pas appliquer la durée de repos quotidien lorsque les travaux urgents suivants doivent être effectués sans attendre :

    • Mesures de sauvetage
    • Prévention d'accidents imminents
    • Réparation d'accidents survenus au matériel, aux installations ou aux bâtiments

    L'employeur reste tenu d'en informer l'inspecteur du travail.

    La dérogation à la durée légale est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • La durée minimale du repos quotidien ne peut pas être inférieure à 12 heures consécutives.

     À noter

    il est interdit de faire travailler un jeune âgé de 16 à 18 ans entre 22 h et 6 h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d'activité ou dans des situations d'urgence.

  • La durée minimale du repos quotidien ne peut pas être inférieure à 14 heures consécutives.

     À noter

    il est interdit de faire travailler un jeune de moins de 16 ans entre 20 h et 6 h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d'activité ou dans des situations d'urgence.

Arrêtés

Ensemble du département des Yvelines classé en zone à risque d’exposition au plomb (arrêté préfectoral)

  • Mai 2000
  • Français
  • pdf
  • 72 Ko
Transcription textuelle

Ensemble du département des Yvelines classé en zone à risque d’exposition au plomb (arrêté préfectoral)

Les termites et les insectes xylophages
Les risques naturels et technologiques majeurs

Seule une partie du territoire située à l’est de Viroflay, dans le secteur de la rue des Marais, est incluse dans le périmètre des risques naturels et technologiques défini par le Préfet. Retrouvez l’arrêté préfectoral relatif à l’information des acquéreurs et des locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs de la commune de Viroflay.

Le contrôle du raccordement à l’assainissement

La communauté d’agglomération de Versailles Grand Parc (VGP) a instauré le contrôle de l’assainissement dans le cadre d’une vente d’un bien immobilier.

Qui contacter pour un diagnostic du raccordement lors d’une vente immobilière ? L’attestation est à établir auprès du prestataire de votre choix.

Dans le cas d’un nouveau raccordement, la demande de raccordement doit être sollicitée auprès de la communauté d’agglomération de Versailles Grand Parc en écrivant à l’adresse suivante : cycledeleau@agglovgp.fr

Déclaration attestant l'achèvement et la conformité des travaux (DAACT)

Fiche pratique

Repos quotidien du salarié

Vérifié le 10/02/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Tout salarié doit bénéficier d'une période de repos quotidien entre 2 journées de travail. La durée légale de repos est d'au moins 11 heures consécutives. Cependant, des dérogations à cette durée peuvent être fixées par convention ou accord. Les salariés de moins de 18 ans bénéficient d'une durée de repos plus élevée.

Tout salarié bénéficie d'un repos quotidien minimal entre 2 journées de travail.

Le repos quotidien est d'au moins 11 heures consécutives entre 2 journées de travail.

 Attention :

aucune durée légale minimale n'est imposée aux cadres dirigeants.

  • Certaines activités permettent de ne pas appliquer la durée du repos quotidien de 11 heures.

    C'est le cas des activités suivantes :

    • Activités caractérisées par l'éloignement entre le domicile et le lieu de travail ou entre différents lieux de travail du salarié
    • Garde et de surveillance et de permanence caractérisées par la protection des biens et des personnes
    • Activités nécessitant d'assurer la continuité du service ou de la production
    • Manutention ou exploitation concourant à l'exécution de prestations de transport
    • Activités s'exerçant par périodes de travail fractionnées dans la journée

    La durée minimale de repos est alors fixée par convention ou accord d'entreprise ou d'établissement.

    Toutefois, la durée de travail ne peut pas être supérieure à 9 heures consécutives.

    La non-application de la durée légale du travail est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • En cas de surcroît d'activité, une convention ou un accord d'entreprise peut prévoir une réduction de la durée du repos quotidien.

    Toutefois, la durée du repos quotidien ne doit pas être inférieure à 9 heures consécutives.

    En l'absence de convention ou d'accord, l'employeur peut ne pas appliquer la durée légale de repos quotidien, après autorisation de l'inspecteur du travail.

    La dérogation à la durée légale est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • L'employeur peut ne pas appliquer la durée de repos quotidien lorsque les travaux urgents suivants doivent être effectués sans attendre :

    • Mesures de sauvetage
    • Prévention d'accidents imminents
    • Réparation d'accidents survenus au matériel, aux installations ou aux bâtiments

    L'employeur reste tenu d'en informer l'inspecteur du travail.

    La dérogation à la durée légale est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • La durée minimale du repos quotidien ne peut pas être inférieure à 12 heures consécutives.

     À noter

    il est interdit de faire travailler un jeune âgé de 16 à 18 ans entre 22 h et 6 h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d'activité ou dans des situations d'urgence.

  • La durée minimale du repos quotidien ne peut pas être inférieure à 14 heures consécutives.

     À noter

    il est interdit de faire travailler un jeune de moins de 16 ans entre 20 h et 6 h. Cependant, des dérogations existent pour certains secteurs d'activité ou dans des situations d'urgence.

En savoir plus

Jean Bernicot

8e maire adjoint - Urbanisme