Construire

Toutes les informations à connaître si vous avez un projet de construction sur le territoire de Viroflay.

Formalités avant de faire des travaux

Pour les travaux de construction ou d’extension de bâtiments, la surface de plancher, avec l’emprise au sol, permet de déterminer le type d’autorisation à demander.

Surface de plancher d'une construction : quelles sont les règles de calcul ?

Déclaration préalable de travaux

Déclaration préalable de travaux (DP)

Urbanisme

Fiche pratique 1 – Déclaration préalable pour création de surface ou de volume

  • 2018
  • Français
  • pdf
  • 1 Mo
Transcription textuelle

Fiche pratique 1 - Déclaration préalable pour création de surface ou de volume

Urbanisme

Fiche pratique 2 – Modifications de l’aspect extérieur des constructions existantes

  • 2018
  • Français
  • pdf
  • 1 Mo
Transcription textuelle

Fiche pratique 2 - Modifications de l'aspect extérieur des constructions existantes

Urbanisme

Fiche pratique 3 – Changements de destination ne s’accompagnant pas de travaux sur la structure porteuse du bâtiment

  • 2018
  • Français
  • pdf
  • 271 Ko
Transcription textuelle

Fiche pratique 3 - Changements de destination ne s'accompagnant pas de travaux sur la structure porteuse du bâtiment

Urbanisme

Fiche pratique 4 – Travaux de création ou de modification de clôture sur rue

  • 2018
  • Français
  • pdf
  • 1 Mo
Transcription textuelle

Fiche pratique 4 - Travaux de création ou de modification de clôture sur rue

Urbanisme

Fiche pratique 5 – Division de terrains en un ou plusieurs lots

  • 2018
  • Français
  • pdf
  • 330 Ko
Transcription textuelle

Fiche pratique 5 - Division de terrains en un ou plusieurs lots

Autorisations d'urbanisme

Permis de construire

Permis de démolir

L’ensemble du territoire de Viroflay est inscrit dans le périmètre défini des Abords des monuments historiques du Domaine de Versailles et du Trianon. De plus, le permis de démolir est institué en application de l’article L421-3 du Code de l’urbanisme sur l’ensemble des zones du PLU. En conséquence, la démolition totale ou partielle de toute construction doit être précédée de l’obtention d’un permis de démolir.

Permis de démolir
Permis d'aménager
Établissement recevant du public (ERP) : procédures d'autorisation de travaux

Fiche pratique

Intérêts moratoires en cas de retard de paiement d'un marché public

Vérifié le 01/07/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Lors de l'exécution d'un marché, si l'organisme public ne respecte pas les délais réglementaires pour payer son fournisseur ou son prestataire, des pénalités financières sont automatiquement appliquées.

Le titulaire du marché public et ses sous-traitants peuvent être pénalisés, s'ils prennent du retard pour exécuter leurs obligations.

Le marché public doit fixer avec précision le délai d'exécution des prestations qui, sauf stipulation contraire, court à partir de la date de notification du marché.

En cas de difficulté d'exécution provenant d'une cause étrangère aux parties, seul l'acheteur peut décider d'une prolongation du délai d'exécution du marché. Ce délai peut aussi être prolongé par un avenant au contrat dans le respect des conditions initiales de la mise en concurrence.

Le délai de paiement varie selon le type d'organisme public.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 30 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes  :

    • des intérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 50 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes :

    • des ntérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 60 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes :

    • des intérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard ;
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • La formule de calcul est la suivante : montant TTC dû x (nombre de jours de retard / 365) x taux des intérêts moratoires applicable.

    Pour les contrats conclus à partir du 16 mars 2013, le taux des intérêts moratoires correspond au taux directeur semestriel (taux de refinancement ou Refi) de la Banque centrale européenne (BCE), en vigueur au 1er jour du semestre au cours duquel les intérêts moratoires ont commencé à courir, majoré de 8 points de pourcentage.

    Par exemple, pour un délai de paiement qui expire au 24 mars, il faut calculer les intérêts qui sont dus à partir du 25 mars, en fonction du taux en vigueur au 1er janvier. Pour un délai de paiement qui expire au 24 juillet, il convient d'appliquer le taux en vigueur au 1er juillet.

    Si le dernier jour du délai est un jour férié, un samedi ou un dimanche, alors le délai expire à la fin du jour ouvrable suivant.

    Contrats conclus à partir du 16 mars 2013 et dont le délai de paiement court depuis le 1er mai 2013

    Fin du délai de paiement

    Mode de calcul des intérêts moratoires

    Taux des intérêts moratoires

    Entre le 1er juillet 2023 et le 31 décembre 2023

    Taux de la BCE (4 % au 1er juillet 2023) + 8

    12 %

    Entre le 1er janvier 2023 et le 30 juin 2023

    Taux de la BCE (2,5 % au 1er janvier 2023) + 8

    10,5 %

    Entre le 1er juillet 2022 et le 31 décembre 2022

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2022) + 8

    8,00 %

    Entre le le 1er janvier 2022 et le 30 juin 2022

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2022) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2021 et le 31 décembre 2021

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2021) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2021) + 8

    8,00 %

    Entre le  1e juillet 2020

    et le 31 décembre 2020

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2020) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2020

    et le 30 juin 2020

    Taux de la BCE (0,00 % au 1erjanvier 2020) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2019 et le 31 décembre 2019

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2019) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2019 et le 30 juin 2019

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2019) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2018 et le 31 décembre 2018

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2018) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2018 et le 30 juin 2018

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2018) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2017 et le 31 décembre 2017

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2017) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2017 et le 30 juin 2017

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2017) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2016 et le 31 décembre 2016

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2016) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2015 et le 30 juin 2016

    Taux de la BCE (0,05 % au 1er janvier et au 1er juillet 2015) + 8

    8,05 %

    Entre le 1er juillet et le 31 décembre 2014

    Taux de la BCE (0,15 % au 1er juillet 2014)  + 8

    8,15 %

    Entre le 1er janvier et 30 juin 2014

    Taux de la BCE (0,25 % au 1er janvier 2014) + 8

    8,25 %

    Entre le 1er juillet et le 31 décembre 2013

    Taux de la BCE (0,50 % au 1er juillet 2013) + 8

    8,50 %

    Jusqu'au 30 juin 2013

    Taux de la BCE (0,75 % au 1er janvier 2013) + 8

    8,75 %

  • Les règles sont différentes pour les marchés conclus avant le 16 mars 2013.

Et aussi

Autorisation pour l'enseigne

Vous êtes un commerçant ? Avant de modifier votre enseigne et/ou votre devanture, pensez à obtenir les autorisations nécessaires : une déclaration préalable (devanture) et une autorisation préalable.

Découvrez la charte des devantures pour vous guider dans vos choix.

Quelles sont les formalités pour modifier la devanture d'un commerce ?

Fiche pratique

Intérêts moratoires en cas de retard de paiement d'un marché public

Vérifié le 01/07/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Lors de l'exécution d'un marché, si l'organisme public ne respecte pas les délais réglementaires pour payer son fournisseur ou son prestataire, des pénalités financières sont automatiquement appliquées.

Le titulaire du marché public et ses sous-traitants peuvent être pénalisés, s'ils prennent du retard pour exécuter leurs obligations.

Le marché public doit fixer avec précision le délai d'exécution des prestations qui, sauf stipulation contraire, court à partir de la date de notification du marché.

En cas de difficulté d'exécution provenant d'une cause étrangère aux parties, seul l'acheteur peut décider d'une prolongation du délai d'exécution du marché. Ce délai peut aussi être prolongé par un avenant au contrat dans le respect des conditions initiales de la mise en concurrence.

Le délai de paiement varie selon le type d'organisme public.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 30 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes  :

    • des intérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 50 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes :

    • des ntérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 60 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes :

    • des intérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard ;
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • La formule de calcul est la suivante : montant TTC dû x (nombre de jours de retard / 365) x taux des intérêts moratoires applicable.

    Pour les contrats conclus à partir du 16 mars 2013, le taux des intérêts moratoires correspond au taux directeur semestriel (taux de refinancement ou Refi) de la Banque centrale européenne (BCE), en vigueur au 1er jour du semestre au cours duquel les intérêts moratoires ont commencé à courir, majoré de 8 points de pourcentage.

    Par exemple, pour un délai de paiement qui expire au 24 mars, il faut calculer les intérêts qui sont dus à partir du 25 mars, en fonction du taux en vigueur au 1er janvier. Pour un délai de paiement qui expire au 24 juillet, il convient d'appliquer le taux en vigueur au 1er juillet.

    Si le dernier jour du délai est un jour férié, un samedi ou un dimanche, alors le délai expire à la fin du jour ouvrable suivant.

    Contrats conclus à partir du 16 mars 2013 et dont le délai de paiement court depuis le 1er mai 2013

    Fin du délai de paiement

    Mode de calcul des intérêts moratoires

    Taux des intérêts moratoires

    Entre le 1er juillet 2023 et le 31 décembre 2023

    Taux de la BCE (4 % au 1er juillet 2023) + 8

    12 %

    Entre le 1er janvier 2023 et le 30 juin 2023

    Taux de la BCE (2,5 % au 1er janvier 2023) + 8

    10,5 %

    Entre le 1er juillet 2022 et le 31 décembre 2022

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2022) + 8

    8,00 %

    Entre le le 1er janvier 2022 et le 30 juin 2022

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2022) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2021 et le 31 décembre 2021

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2021) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2021) + 8

    8,00 %

    Entre le  1e juillet 2020

    et le 31 décembre 2020

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2020) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2020

    et le 30 juin 2020

    Taux de la BCE (0,00 % au 1erjanvier 2020) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2019 et le 31 décembre 2019

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2019) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2019 et le 30 juin 2019

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2019) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2018 et le 31 décembre 2018

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2018) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2018 et le 30 juin 2018

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2018) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2017 et le 31 décembre 2017

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2017) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2017 et le 30 juin 2017

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2017) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2016 et le 31 décembre 2016

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2016) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2015 et le 30 juin 2016

    Taux de la BCE (0,05 % au 1er janvier et au 1er juillet 2015) + 8

    8,05 %

    Entre le 1er juillet et le 31 décembre 2014

    Taux de la BCE (0,15 % au 1er juillet 2014)  + 8

    8,15 %

    Entre le 1er janvier et 30 juin 2014

    Taux de la BCE (0,25 % au 1er janvier 2014) + 8

    8,25 %

    Entre le 1er juillet et le 31 décembre 2013

    Taux de la BCE (0,50 % au 1er juillet 2013) + 8

    8,50 %

    Jusqu'au 30 juin 2013

    Taux de la BCE (0,75 % au 1er janvier 2013) + 8

    8,75 %

  • Les règles sont différentes pour les marchés conclus avant le 16 mars 2013.

Et aussi

Enseignes commerciales

Fiche pratique

Intérêts moratoires en cas de retard de paiement d'un marché public

Vérifié le 01/07/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Lors de l'exécution d'un marché, si l'organisme public ne respecte pas les délais réglementaires pour payer son fournisseur ou son prestataire, des pénalités financières sont automatiquement appliquées.

Le titulaire du marché public et ses sous-traitants peuvent être pénalisés, s'ils prennent du retard pour exécuter leurs obligations.

Le marché public doit fixer avec précision le délai d'exécution des prestations qui, sauf stipulation contraire, court à partir de la date de notification du marché.

En cas de difficulté d'exécution provenant d'une cause étrangère aux parties, seul l'acheteur peut décider d'une prolongation du délai d'exécution du marché. Ce délai peut aussi être prolongé par un avenant au contrat dans le respect des conditions initiales de la mise en concurrence.

Le délai de paiement varie selon le type d'organisme public.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 30 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes  :

    • des intérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 50 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes :

    • des ntérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 60 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes :

    • des intérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard ;
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • La formule de calcul est la suivante : montant TTC dû x (nombre de jours de retard / 365) x taux des intérêts moratoires applicable.

    Pour les contrats conclus à partir du 16 mars 2013, le taux des intérêts moratoires correspond au taux directeur semestriel (taux de refinancement ou Refi) de la Banque centrale européenne (BCE), en vigueur au 1er jour du semestre au cours duquel les intérêts moratoires ont commencé à courir, majoré de 8 points de pourcentage.

    Par exemple, pour un délai de paiement qui expire au 24 mars, il faut calculer les intérêts qui sont dus à partir du 25 mars, en fonction du taux en vigueur au 1er janvier. Pour un délai de paiement qui expire au 24 juillet, il convient d'appliquer le taux en vigueur au 1er juillet.

    Si le dernier jour du délai est un jour férié, un samedi ou un dimanche, alors le délai expire à la fin du jour ouvrable suivant.

    Contrats conclus à partir du 16 mars 2013 et dont le délai de paiement court depuis le 1er mai 2013

    Fin du délai de paiement

    Mode de calcul des intérêts moratoires

    Taux des intérêts moratoires

    Entre le 1er juillet 2023 et le 31 décembre 2023

    Taux de la BCE (4 % au 1er juillet 2023) + 8

    12 %

    Entre le 1er janvier 2023 et le 30 juin 2023

    Taux de la BCE (2,5 % au 1er janvier 2023) + 8

    10,5 %

    Entre le 1er juillet 2022 et le 31 décembre 2022

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2022) + 8

    8,00 %

    Entre le le 1er janvier 2022 et le 30 juin 2022

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2022) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2021 et le 31 décembre 2021

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2021) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2021) + 8

    8,00 %

    Entre le  1e juillet 2020

    et le 31 décembre 2020

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2020) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2020

    et le 30 juin 2020

    Taux de la BCE (0,00 % au 1erjanvier 2020) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2019 et le 31 décembre 2019

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2019) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2019 et le 30 juin 2019

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2019) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2018 et le 31 décembre 2018

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2018) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2018 et le 30 juin 2018

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2018) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2017 et le 31 décembre 2017

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2017) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2017 et le 30 juin 2017

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2017) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2016 et le 31 décembre 2016

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2016) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2015 et le 30 juin 2016

    Taux de la BCE (0,05 % au 1er janvier et au 1er juillet 2015) + 8

    8,05 %

    Entre le 1er juillet et le 31 décembre 2014

    Taux de la BCE (0,15 % au 1er juillet 2014)  + 8

    8,15 %

    Entre le 1er janvier et 30 juin 2014

    Taux de la BCE (0,25 % au 1er janvier 2014) + 8

    8,25 %

    Entre le 1er juillet et le 31 décembre 2013

    Taux de la BCE (0,50 % au 1er juillet 2013) + 8

    8,50 %

    Jusqu'au 30 juin 2013

    Taux de la BCE (0,75 % au 1er janvier 2013) + 8

    8,75 %

  • Les règles sont différentes pour les marchés conclus avant le 16 mars 2013.

Et aussi

Délais d’instruction maximum

L’ensemble du territoire de Viroflay est inscrit dans le périmètre défini des Abords des monuments historiques du Domaine de Versailles et du Trianon. Chaque demande d’autorisation d’urbanisme est transmise pour accord à l’Architecte des Bâtiments de France (ABF). De ce fait, les délais d’instruction sont majorés d’un mois.
Les délais d’instruction courent à compter du dépôt d’un dossier complet des différentes demandes :

Affichage sur le terrain

Toute autorisation de construire accordée doit être affichée dès décision tacite ou expresse par les soins du bénéficiaire sur son terrain, de manière visible depuis la voie publique et ce, pendant toute la durée du chantier.

Cet affichage marque le point de départ du recours des tiers qui se déroule sur une période de deux mois.

Affichage de l'autorisation d'urbanisme sur le terrain

Affichage sur les panneaux administratifs de l’hôtel de ville et du service de l’urbanisme

La liste des demandes d’autorisation de construire déposées et accordées est affichée sur les panneaux administratifs de l’hôtel de ville (2, place du Général de Gaulle) et du service de l’urbanisme (191, avenue du Général Leclerc).

Les autorisations de construire délivrées sont consultables au service de l’urbanisme.

Déclarer l’achèvement et la conformité des travaux au service de l’urbanisme (DAACT)

Déclaration attestant l'achèvement et la conformité des travaux (DAACT)

Aide aux particuliers pour l’élargissement des portails

Afin d’encourager les travaux en faveur d’un agrandissement des accès des véhicules à l’intérieur des propriétés permettant de réduire l’encombrement des voies publiques, la Ville a instauré un dispositif d’aide aux particuliers viroflaysiens sous la forme d’une subvention. Cette subvention est fixée à 20 % du prix TTC des travaux dans la limite de 1 000 € TTC par foyer et concerne les travaux effectués à compter du 1er janvier 2011.

Ces travaux nécessitent l’obtention d’une autorisation d’urbanisme préalable.

Taxe d’aménagement

La Ville a délibéré le 27 novembre 2015 pour fixer le taux communal de cette nouvelle taxe à 5 %. Cette taxe, liée aux autorisations de construire, s’impose à toute construction de nouvelles surfaces de plancher.

Travaux

ODP-Travaux-et-Chantiers

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Transcription textuelle

Demande d'autorisation d'occupation du domaine public pour travaux et chantiers

Déclarer une construction nouvelle ou une reconstruction s'il s'agit d'une maison individuelle
Permis de stationnement et permission de voirie

Fiche pratique

Intérêts moratoires en cas de retard de paiement d'un marché public

Vérifié le 01/07/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Lors de l'exécution d'un marché, si l'organisme public ne respecte pas les délais réglementaires pour payer son fournisseur ou son prestataire, des pénalités financières sont automatiquement appliquées.

Le titulaire du marché public et ses sous-traitants peuvent être pénalisés, s'ils prennent du retard pour exécuter leurs obligations.

Le marché public doit fixer avec précision le délai d'exécution des prestations qui, sauf stipulation contraire, court à partir de la date de notification du marché.

En cas de difficulté d'exécution provenant d'une cause étrangère aux parties, seul l'acheteur peut décider d'une prolongation du délai d'exécution du marché. Ce délai peut aussi être prolongé par un avenant au contrat dans le respect des conditions initiales de la mise en concurrence.

Le délai de paiement varie selon le type d'organisme public.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 30 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes  :

    • des intérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 50 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes :

    • des ntérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • Le délai de paiement du fournisseur ou du prestataire est de 60 jours.

    Les intérêts commencent à courir le lendemain de l'expiration du délai de paiement et jusqu'à la date de mise en paiement incluse.

    Si l'acheteur paye son fournisseur ou prestataire avec retard, il lui doit les sommes suivantes :

    • des intérêts moratoires calculés en fonction du nombre de jours de retard et appliqués au montant qui subit le retard ;
    • une indemnité de 40 € pour frais de recouvrement, due dès le 1er jour de retard, qui s'ajoute systématiquement aux pénalités de retard.

    Les intérêts moratoires et l'indemnité forfaitaire sont exigibles sans qu'un rappel soit nécessaire, c'est-à-dire sans qu'il soit besoin d'envoyer une lettre recommandée afin de déclencher le droit de percevoir des pénalités de retard.

      À savoir

    Un simulateur de calcul permet aux entreprises d'évaluer le montant des intérêts moratoires dus par un acheteur qui ne respecterait pas les délais réglementaires.

  • La formule de calcul est la suivante : montant TTC dû x (nombre de jours de retard / 365) x taux des intérêts moratoires applicable.

    Pour les contrats conclus à partir du 16 mars 2013, le taux des intérêts moratoires correspond au taux directeur semestriel (taux de refinancement ou Refi) de la Banque centrale européenne (BCE), en vigueur au 1er jour du semestre au cours duquel les intérêts moratoires ont commencé à courir, majoré de 8 points de pourcentage.

    Par exemple, pour un délai de paiement qui expire au 24 mars, il faut calculer les intérêts qui sont dus à partir du 25 mars, en fonction du taux en vigueur au 1er janvier. Pour un délai de paiement qui expire au 24 juillet, il convient d'appliquer le taux en vigueur au 1er juillet.

    Si le dernier jour du délai est un jour férié, un samedi ou un dimanche, alors le délai expire à la fin du jour ouvrable suivant.

    Contrats conclus à partir du 16 mars 2013 et dont le délai de paiement court depuis le 1er mai 2013

    Fin du délai de paiement

    Mode de calcul des intérêts moratoires

    Taux des intérêts moratoires

    Entre le 1er juillet 2023 et le 31 décembre 2023

    Taux de la BCE (4 % au 1er juillet 2023) + 8

    12 %

    Entre le 1er janvier 2023 et le 30 juin 2023

    Taux de la BCE (2,5 % au 1er janvier 2023) + 8

    10,5 %

    Entre le 1er juillet 2022 et le 31 décembre 2022

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2022) + 8

    8,00 %

    Entre le le 1er janvier 2022 et le 30 juin 2022

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2022) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2021 et le 31 décembre 2021

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2021) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2021) + 8

    8,00 %

    Entre le  1e juillet 2020

    et le 31 décembre 2020

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2020) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2020

    et le 30 juin 2020

    Taux de la BCE (0,00 % au 1erjanvier 2020) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2019 et le 31 décembre 2019

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2019) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2019 et le 30 juin 2019

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2019) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2018 et le 31 décembre 2018

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2018) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2018 et le 30 juin 2018

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2018) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2017 et le 31 décembre 2017

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2017) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2017 et le 30 juin 2017

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er janvier 2017) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er juillet 2016 et le 31 décembre 2016

    Taux de la BCE (0,00 % au 1er juillet 2016) + 8

    8,00 %

    Entre le 1er janvier 2015 et le 30 juin 2016

    Taux de la BCE (0,05 % au 1er janvier et au 1er juillet 2015) + 8

    8,05 %

    Entre le 1er juillet et le 31 décembre 2014

    Taux de la BCE (0,15 % au 1er juillet 2014)  + 8

    8,15 %

    Entre le 1er janvier et 30 juin 2014

    Taux de la BCE (0,25 % au 1er janvier 2014) + 8

    8,25 %

    Entre le 1er juillet et le 31 décembre 2013

    Taux de la BCE (0,50 % au 1er juillet 2013) + 8

    8,50 %

    Jusqu'au 30 juin 2013

    Taux de la BCE (0,75 % au 1er janvier 2013) + 8

    8,75 %

  • Les règles sont différentes pour les marchés conclus avant le 16 mars 2013.

Et aussi

En savoir plus

Jean Bernicot

8e maire adjoint - Urbanisme